« Les œuvres sont exposées à Allâh le lundi et le jeudi, et j’aime que mon œuvre soit exposée alors que je jeûne. »
Le narrateur : Abou Hourayrah | Le rapporteur : Ibn Al-Moulaqqin
Source : Al-Badr Al-Mounîr | Page ou numéro : p 755/5
Jugement du rapporteur : sahîh
Le Messager d’Allâh — que l’éloge d’Allâh et Son salut soient sur lui — jeûnait les lundis et les jeudis, et il disait : « C’est en ces deux jours que les œuvres sont exposées. »
Le narrateur : ‘Ousâmah ibn Zayd | Le rapporteur : Al-‘Albânî
Source : Sahîh At-Targhîb | Page ou numéro : 1043
Jugement du rapporteur : hassan sahîh
« Je n’ai jamais vu le Messager d’Allâh — que l’éloge d’Allâh et Son salut soient sur lui — jeûner durant un mois plus qu’il ne jeûnait pour Allâh durant Cha‘bân. Il jeûnait Cha‘bân, sauf un petit peu ; au contraire, il le jeûnait entièrement. »
Le narrateur : ‘Â’ichah, mère des croyants | Le rapporteur : Al-‘Albânî
Source : Moukhtasar Ach-Chamâ’il | Page ou numéro : 256
Jugement du rapporteur : sahîh
Le Prophète — que l’éloge d’Allâh et Son salut soient sur lui — fut interrogé : « Quelle est la meilleure prière après les prières obligatoires ? Et quel est le meilleur jeûne après celui du mois de Ramadan ? » Il répondit : « La meilleure prière après les prières obligatoires est la prière au cœur de la nuit. Et le meilleur jeûne après celui du mois de Ramadan est le jeûne du mois d’Allâh, al-Mouharram. »
Le narrateur : Aboû Hourayrah | Le rapporteur : Mouslim
Source : Sahîh Mouslim | Page ou numéro : 1163
Jugement du rapporteur : sahîh
« Il n’est pas permis à la femme de jeûner alors que son mari est présent sans sa permission. Et elle ne doit laisser entrer quelqu’un dans sa maison sans sa permission. Et si elle dépense de son bien sans son ordre, il recevra la moitié de ce qu’elle a dépensé. »
Le narrateur : Aboû Hourayrah | Le rapporteur : Al-Boukhârî
Source : Sahîh Al-Boukhârî | Page ou numéro : 5195
Jugement du rapporteur : sahîh
« Al-Fadhl était le passager monté derrière le Prophète — que l’éloge d’Allâh et Son salut soient sur lui — lorsqu’une femme de Khath‘am vint l’interroger. Al-Fadhl se mit à la regarder et elle fit de même, alors le Prophète détourna le visage d’Al-Fadhl vers l’autre côté. Elle dit : “L’obligation d’Allâh concernant le pèlerinage (hajj) est parvenue à mon père alors qu’il est un vieil homme qui ne peut plus se maintenir sur sa monture. Puis-je accomplir le pèlerinage en son nom ?” Il répondit : « Oui. » Ceci s’est passé lors du Pèlerinage d’adieu. »
Le narrateur : ‘Abdoullâh ibn ‘Abbâs | Le rapporteur : Al-Boukhârî
Source : Sahîh Al-Boukhârî | Page ou numéro : 1855
Jugement du rapporteur : sahîh
Le Messager d’Allâh — que l’éloge d’Allâh et Son salut soient sur lui — nous ordonnait, lorsque nous étions en voyage, de ne pas retirer nos chaussons pendant trois jours et trois nuits, sauf en cas de non-purification majeure (janâbah). Mais pour l’urine, les selles ou le sommeil, cela n’était pas nécessaire.
Le narrateur : Safwân ibn ‘Assâl | Le rapporteur : Al-‘Albânî
Source : Sahîh At-Tirmidhî | Page ou numéro : 96
Jugement du rapporteur : hassan
J’étais en voyage avec le Prophète — que l’éloge d’Allâh et Son salut soient sur lui — et je me penchai pour lui retirer ses chaussons. Il dit : « Laisse-les, car je les ai portés dans un état de purification. » Puis il essuya de la main sur eux.
Le narrateur : Al-Moughîrah ibn Chou‘bah | Le rapporteur : Al-Boukhârî
Source : Sahîh Al-Boukhârî | Page ou numéro : 206
Jugement du rapporteur : sahîh
« La purification est la moitié de la foi. « Toute louange revient à Allâh » remplit la balance, et « Pureté à Allâh » ainsi que « Toute louange revient à Allâh » remplissent ce qui est entre les cieux et la terre. La prière est une lumière, l’aumône est une preuve, la patience est une incandescence, et le Coran est une preuve en ta faveur ou contre toi. Tous les gens sortent le matin et chacun vend son âme : soit il l’affranchit, soit il la mène à sa perte. »
Le narrateur : Aboû Mâlik Al-Ach’arî | Le rapporteur : Mouslim
Source : Sahîh Mouslim | Page ou numéro : 223
Jugement du rapporteur : sahîh
« Si je ne craignais pas d'imposer trop de contraintes à ma nation — ou aux gens — je leur aurais ordonné d’utiliser le siwâk avant chaque prière. »
Le narrateur : Aboû Hourayrah | Le rapporteur : Al-Boukhârî
Source : Sahîh Al-Boukhârî | Page ou numéro : 887
Jugement du rapporteur : sahîh