J’étais en voyage avec le Prophète — que l’éloge d’Allâh et Son salut soient sur lui — et je me penchai pour lui retirer ses chaussons. Il dit : « Laisse-les, car je les ai portés dans un état de purification. » Puis il essuya de la main sur eux.
Le narrateur : Al-Moughîrah ibn Chou‘bah | Le rapporteur : Al-Boukhârî
Source : Sahîh Al-Boukhârî | Page ou numéro : 206
Jugement du rapporteur : sahîh
« La purification est la moitié de la foi. « Toute louange revient à Allâh » remplit la balance, et « Pureté à Allâh » ainsi que « Toute louange revient à Allâh » remplissent ce qui est entre les cieux et la terre. La prière est une lumière, l’aumône est une preuve, la patience est une incandescence, et le Coran est une preuve en ta faveur ou contre toi. Tous les gens sortent le matin et chacun vend son âme : soit il l’affranchit, soit il la mène à sa perte. »
Le narrateur : Aboû Mâlik Al-Ach’arî | Le rapporteur : Mouslim
Source : Sahîh Mouslim | Page ou numéro : 223
Jugement du rapporteur : sahîh
« Si je ne craignais pas d'imposer trop de contraintes à ma nation — ou aux gens — je leur aurais ordonné d’utiliser le siwâk avant chaque prière. »
Le narrateur : Aboû Hourayrah | Le rapporteur : Al-Boukhârî
Source : Sahîh Al-Boukhârî | Page ou numéro : 887
Jugement du rapporteur : sahîh
Le siwâk purifie la bouche et suscite la satisfaction du Seigneur.
Le narrateur : ‘Â’ichah, Mère des croyants | Le rapporteur : Al-‘Albânî
Source : Sahîh An-Nassâ’î | Page ou numéro : 5
Jugement du rapporteur : sahîh
« La purification du récipient de l’un d’entre vous, lorsque le chien y a boit, consiste à le laver sept fois, dont la première avec de la terre. »
Le narrateur : Aboû Hourayrah | Le rapporteur : Mouslim
Source : Sahîh Mouslim | Page ou numéro : 279
Jugement du rapporteur : sahîh
Un homme interrogea le Messager d’Allâh — que l’éloge d’Allâh et Son salut soient sur lui — en disant : « Messager d’Allâh ! Nous voyageons en mer et n’avons avec nous qu’une petite quantité d’eau. Si nous faisons nos ablutions avec, nous aurons soif. Peut-on faire nos ablutions avec l’eau de la mer ? » Le Prophète ﷺ répondit : « Son eau est purifiante, et ce qui y meurt est licite. »
Le narrateur : Aboû Hourayrah | Le rapporteur : Al-'Albânî
Source : Sahîh At-Tirmidhî | Page ou numéro : 69
Jugement du rapporteur : sahîh
« Allâh a dit : “Quiconque prend pour ennemi l’un de Mes alliés, Je lui déclare la guerre. Mon serviteur ne s’est jamais rapproché de Moi par une chose plus aimée de Moi que ce que Je lui ai rendu obligatoire. Et Mon serviteur ne cesse de se rapprocher de Moi par les actes surérogatoires jusqu’à ce que Je l’aime. Et lorsque Je l’aime, Je deviens l’ouïe par laquelle il entend, la vue par laquelle il voit, la main avec laquelle il prends3, et le pied avec lequel il marche. S’il Me demande, Je lui accorderai, et s’il cherche refuge auprès de Moi, Je le protégerai. Et Je n’ai jamais hésité à accomplir une chose que Je dois accomplir, autant que Mon hésitation à ôter la vie du croyant : il déteste la mort, et Moi Je déteste lui faire du mal.” »
Le narrateur : Aboû Hourayrah | Le rapporteur : Al-Boukhârî
Source : Sahîh Al-Boukhârî | Page ou numéro : 6502
Jugement du rapporteur : sahîh
« L’émigration (hijra) ne cessera que lorsque le repentir cessera, et le repentir ne cessera que lorsque le soleil se lèvera de l’ouest. »
Le narrateur : Mou‘âwiyah ibn Abî Soufyân | Le rapporteur : Al-‘Albânî
Source : Sahîh Abî Dâwoud | Page ou numéro : 2479
Jugement du rapporteur : sahîh
« Je vois ce que vous ne voyez pas, et j’entends ce que vous n’entendez pas. Le ciel grince, et à juste titre il grince : il n’y a pas l’espace de quatre doigts sans qu’un Ange n’y ait posé son front en prosternation devant Allâh, élevé soit-Il. Par Allâh ! si vous saviez ce que je sais, vous ririez peu, vous pleureriez beaucoup, vous ne prendriez plus de plaisir avec les femmes sur vos lits, et vous sortiriez vers les hauteurs implorant Allâh en criant. »
Le narrateur : Abou Dharr Al-Ghifârî | Le rapporteur : Al-‘Albânî
Source : Sahîh Al-Jâmi‘ | Page ou numéro : 2449
Jugement du rapporteur : hassan
Je vois ce que vous ne voyez pas, et j’entends ce que vous n’entendez pas. Le ciel grince, et à juste titre il grince : il n’y a pas l’espace de quatre doigts sans qu’un Ange n’y ait posé son front en prosternation devant Allâh, élevé soit-Il.
Le narrateur : Abou Dharr Al-Ghifârî | Le rapporteur : Al-‘Albânî
Source : Sahîh Al-Jâmi‘ | Page ou numéro : 2449
Jugement du rapporteur : hassan