« Regardez ceux qui sont en dessous de vous, et ne regardez pas ceux qui sont au-dessus de vous. Cela est plus à même de vous empêcher de mépriser le bienfait d’Allâh. »
Le narrateur : Aboû Hourayrah | Le rapporteur : Mouslim
Source : Sahîh Mouslim | Page ou numéro : 2963
Jugement du rapporteur : sahîh
« Le musulman a six droits sur son frère. » — On demanda : « Lesquels, Messager d’Allâh ? » Il répondit : « Lorsque tu le rencontres, adresse-lui le salut. S’il t’invite, réponds à son invitation. S’il te demande un conseil, donne-lui un conseil sincère. S’il éternue et loue Allâh, invoque pour lui la miséricorde. S’il tombe malade, rends-lui visite. Et s’il meurt, suis son cortège funèbre. »
Le narrateur : Aboû Hourayrah | Le rapporteur : Mouslim
Source : Sahîh Mouslim | Page ou numéro : 2162
Jugement du rapporteur : sahîh
« Prenez le repas avant l’aube pour celui qui veut jeûner, car il y a dans ce repas une bénédiction. »
Le narrateur : Anas ibn Mâlik | Le rapporteur : Mouslim
Source : Sahîh Mouslim | Page ou numéro : 1095
Jugement du rapporteur : sahîh
« Il sortira de l’Enfer celui qui aura dit : “Nulle divinité ne mérite l’adoration hormis Allâh” et dans son cœur se trouve le poids d’un grain d’orge de bien. Il sortira aussi de l’Enfer celui qui aura dit : “Nulle divinité ne mérite l’adoration hormis Allâh” et dans son cœur se trouve le poids d’un grain de blé de bien. Et il sortira de l’Enfer celui qui aura dit : “Nulle divinité ne mérite l’adoration hormis Allâh” et dans son cœur se trouve le poids d’une petite fourmi de bien. »
Le narrateur : Anas ibn Mâlik | Le rapporteur : Al-Boukhârî
Source : Sahîh Al-Boukhârî | Page ou numéro : 44
Jugement du rapporteur : sahîh
« Celui qui dit : Nulle divinité ne mérite l’adoration hormis Allâh, Seul sans aucun associé. La royauté est la Sienne, ainsi que la louange, et Il est parfaitement capable de faire toute chose — dix fois — sera comme s’il avait affranchi quatre âmes parmi les fils d’Ismâ‘îl. »
Le narrateur : Aboû Ayyoûb Al-‘Ansârî | Le rapporteur : Mouslim
Source : Sahîh Mouslim | Page ou numéro : 2693
Jugement du rapporteur : sahîh
« Celui qui dit : Nulle divinité ne mérite l’adoration hormis Allâh, Seul sans aucun associé. La royauté est la Sienne, ainsi que la louange, et Il est parfaitement capable de faire toute chose — cent fois dans la journée — cela lui vaudra la récompense équivalente à l’affranchissement de dix âmes, cent bonnes actions lui seront inscrites, cent mauvaises actions lui seront effacées, et ce sera pour lui une protection contre le Diable durant toute sa journée jusqu’au soir. Personne ne viendra avec une œuvre meilleure que la sienne, sauf celui qui en aura fait davantage. »
Le narrateur : Aboû Hourayrah | Le rapporteur : Al-Boukhârî
Source : Sahîh Al-Boukhârî | Page ou numéro : 6403
Jugement du rapporteur : sahîh
« Méfiez-vous du doute, car le doute est le plus mensonger des paroles. Ne vous espionnez pas, ne vous épiez pas, ne rivalisez pas, ne vous enviez pas, ne vous haïssez pas, ne vous tournez pas le dos. Et soyez — serviteurs d’Allâh ! — des frères. »
Le narrateur : Aboû Hourayrah | Le rapporteur : Mouslim
Source : Sahîh Mouslim | Page ou numéro : 2563
Jugement du rapporteur : sahîh
« Qu’un homme ne fasse pas une demande en mariage là où son frère en a déjà faite, tant que ce dernier ne s’est pas marié ou n’a pas renoncé. »
Le narrateur : Aboû Hourayrah | Le rapporteur : Al-Boukhârî
Source : Sahîh Al-Boukhârî | Page ou numéro : 5143
Jugement du rapporteur : sahîh
« Allâh — béni et élevé soit-Il — a dit : “Je suis parmi les associés Celui qui n’a point besoin de l’association. Celui qui a accompli une œuvre dans laquelle il a associé avec Moi quelqu’un d’autre ; Je l’abandonnerai lui et son association.” »
Le narrateur : Aboû Hourayrah | Le rapporteur : Mouslim
Source : Sahîh Mouslim | Page ou numéro : 2985
Jugement du rapporteur : sahîh
« Lorsque le Prophète — que l’éloge d’Allâh et Son salut soient sur lui — revint de son grand pèlerinage, il dit à Oum Sinân Al-Ansâriyyah : “Qu’est-ce qui t’a empêchée d’accomplir le grand pèlerinage ?” Elle répondit : “Abou Unetel — c’est-à-dire son époux — possédait deux chameaux : il a effectué le grand pèlerinage avec l’un d’eux, et l’autre servait à arroser notre terre.” Il dit alors : “Eh bien, un petit pèlerinage accompli pendant le Ramadan équivaut à un grand pèlerinage — ou à un grand pèlerinage en ma compagnie.” »
Le narrateur : ‘Abdoullâh ibn ‘Abbâs | Le rapporteur : Al-Boukhârî
Source : Sahîh Al-Boukhârî | Page ou numéro : 1863
Jugement du rapporteur : sahîh